D'Afrique en Asie ... Carnet de route

Voici mon carnet de voyage, qui me permettra de laisser mes impressions tout au long de celui-ci. J'éspère ainsi vous faire partager cette expérience, recueillir vos impressions et les nouvelles de la vie que je laisse derrière moi ... pour un temps.

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Le 1er novembre 2004, je commence un voyage de 10 mois qui me conduira vers des régions magiques que j'ai toujours voulu voir. Je veux partager avec vous ce moment de ma vie, à travers les photos et les commentaires vocaux que je posterai ici, tout au long de ce voyage.

2/03/2005

Kuala Lumpur

Pour un retour au vadrouillage, je suis servi. Kuala Lumpur m'offre un spectacle d'une richesse impressionnante. Parcs, Immeubles, rues bondées ... Grâce aux précieux renseignements fournis par la pension où je suis descendu, notamment un plan de la ville, je me repère facilement dans cette ville. Ce que je suis venu voir n'est pas loin : à peine deux kilomètres. Je remonte la rue en sens unique jusqu'au carrefour. A gauche, la deuxième tour de relais la plus haute du monde. ce sera pour demain. A ma droite : les Tours Petronas réputées les plus hautes du monde, ainsi que les ambassades de France et de Thaïlande et l'Office National du Tourisme malaysien. Le tout dans une seule longue et large avenue. J'hésite un moment avant de prendre le bus (ils sont particulièrement bon marché en Asie du sud-est, m'a-t-on dit) et décide finalement de marcher. Marcher en ville est la meilleure façon de découvrir ses trésors cachés : ici, une maison particulière immense, là de petits détails d'architecture sur une façade moderne et, tout le long, les regards des passants. Je ne suis pas le seul européen à parcourrir la ville, mais déambuler loin des centres touristiques ne doit pas forcément petre courant. En général, les touristes prennent un taxi ou un bus pour se rendre directement aux points chauds. Mais j'ai du temps, et je ne veux pas forcément rester dans le strict sentier. Tout de même, je me dirige vers le premier point : l'Office National du tourisme. L'endroit est bien indiqué, mais dans l'autre sens. Apparemment, personne n'a pensé que l'on pouvait arriver par mon côté, ou bien le panneau est en travaux, ou que sais-je encore ... Toujours est-il qu'il me faudra dix bonnes minutes avant de trouver ce groupe de bâtiments blancs aux toits rouges. Je rentre et dirige mes pas vers le comptoir. Le hall est désert, hormis un américain qui flâne devant les brochures. Une hôtesse me reçoit et, en dix minutes, je définis avec elle un parcours de deux jours qui me fera découvrir l'essentiel de la capitale : les tous Petronas, bien sûr, mais également la tour Menara, les jardins d'hibiscus et les parcs aux oiseaux et aux papillons ... Joli programme. Cet après-midi, il y a un spectacle de danses traditionnelles ici même. Bien, j'y serai.

Je sors du bâtiment. Il est 10 heures, j'ai 5 heures avant le spectacle. Plus qu'il n'en faut. Je me dirige donc en premier vers les tours Petronas. Facile à trouver, elles sont visibles depuis l'avenue, il n'y a qu'à s'approcher. Seulement voila. Elles sont grandes, ces tours, et plus on s'en approche, plus elles semblent s'éloigner. C'est à ce moment là que l'on prend toute la mesure de la pollution ambiante : ces tours, sans vouloir se rapprocher, deviennet de plus en plus nettes. Je commence à distinguer des détails. Le tours sont en étoiles à 8 branches. C'est de l'acier et du verre. Il y a une passerelle qui relie les deux tours jumelles à une hauteur incroyable. Les étais de la passerelle sont ancrés 14 étages plus bas ! Petit à petit, au fur et à mesure que je m'en rapproche, je commence à prendre conscience des dimensions réelles de l'édifice. La Tour Eiffel me semble bien petite. Un demi-kilomètre de haut. On dirait deux gigantesques fusées, avec leurs boosters d'appoints, posées sur une base de cing ou six étages, qui se trouve être une gigantesque galerie marchande, un "maul". A l'intérieur, c'est tout en lumière, en acier, en verre, en couleurs qui éclatent à tous les étages. Je ne sais pas à quoi je m'attendais, mais certainement pas à ça. J'ai l'impression d'être au Macy's de New-York. Un grand temple de la consommation, comme il y en a des dizaines ici, à Kuala Lumpur. Les Malaysiens ont de quoi consommer, apparemment. Je vois des sourires partout. Une religion de bonheur ... pour ceux qui peuvent acheter. Maintenant que j'y pense, mes regards se tournent vers les "consommateurs" qui déambulent dans les galeries. Des tailleurs, des complets-vestons, des étrangers ... Il y a quelques enfants bien vêtus qui traînent devant les vitrines des magasins de jeux. L'atmosphère est feutrée, il n'y a pas trop de monde. Pas de vagues non plus : des gardes à tous les étages maintiennent une ambiance sereine. Ici, on consomme propre, on consomme riche et si l'on ne fait pas partie des fortunés, on ne consomme pas. Je traverse les galeries, en laissant mon regard glisser le long des vitrines et se perdre devant tous ces objets de luxe. Tous les grands noms de la mode, de la haute couture, de la bijouterie, du luxe en général, sont là. J'apperçois un stand où traîne une voiture de F1. Une Sauber-Petronas, bien sûr. Des gamins sont là, à admirer le petit bolide à plusieurs millions d'euros, les yeux brillants comme devant un sapin de Noël bien garni.

Je finis par sortir dans le parc derrière les tours. La tête me tourne un peu. Un jardin s'ouvre devant moi. Il a dû pleuvoir car les terrasses des cafés sont mouillées. Pourtant, à l'intérieur, je n'ai rien entendu. Encore une qualité de ces magasins : ils vous transportent dans un autre monde, complètement coupé de la réalité. Mais je suis là pour voir les tours, pas les magasins. Je me retourne et manque tomber à la renverse. J'avais oublié de lever les yeux aux pieds des tours en entrant. Après l'ivresse du grand magasin, ce gigantisme m'écrase presque. Je veux prendre du recul, mais un petit étang m'en empêche. Je suis contraint de faire le tour du parc, ce qui se révèle assez agréalbe. J'arrive sur un pont qui enjambe l'étang. Le point d'observation idéal. Je fais un tour sur moi-même et regarde l'ensemble du parc. Il a beau être disymétrique, il est trop propre, trop parfait. Il ne fait pas "naturel". L'étang est en fait un immense pédiluve au fond tapissé de faïence. Au fond, la cascade a tout l'attrait d'une salle de bains et les seuls poissons sont les répliques de dauphin et de baleine surgissant de 30 cm d'eau. Le gazon, impeccablement entretenu, n'est recouvert d'aucune feuille, malgré le nombre d'arbres présents. Et pourtant, je ne vois pas de jardinier. Si les architectes s'en donnent à coeur joie, les paysagistes en font des tonnes. L'ensemble est moins reposant qu'un square parisien. Ici, la nature est reproduite, mais elle n'est pas présente. Un peu comme un musée. C'est ça. Je suis dans un musée de la nature. Je repars, direction la rue et son chaos.

Je remonte l'avenue vers les ambassades. C'est un quartier d'anciennes maisons coloniales transformées en ambassades. Je m'attend donc à voir de très belles demeures. En effet, au fur et à mesure que je remonte l'avenue, les buildings s'effacent pour laisser place à des jardins (plus naturels) entourant de belles demeures, de petits immeubles où toutes les fenêtres disponsent de balcon. Le tout est très joli et rend un parfum d'ancienne colonie bien tenue. Un bâtiment aux toits à pagodes attire mon attention, sans que j'arrive à savoir de quoi il s'agit. Je passe devant l'ambassade d'angleterre, un bâtiment colonial modèle du genre. En eût-il été autrement que j'eûs été déçu. Les déceptions arrivent juste après une superbe série de bâtiments à deux étages à l'esthétique recherchée, alors que j'arrive devant l'ambassade de France. J'avoue que je ne savais pas à quoi m'attendre. Peut-être un jardin de Gould, ou bien une allégorie parisienne, tant le défilé qui précédait ressemblait plus à une exposition universelle qu'à une avenue d'une capitale asiatique. Mais certainement pas à un bloc blanc aux murs droits et aux fenêtres barrées de ferraille sans âme (pas même en ferronnerie), entourée d'un chemin de béton le séparant de la grille en gros barreaux blancs que de quelques mètres. Une vraie prison. Quelle misère ! S'il y a peu de malaysiens en visite en France, cette ambassade doit y être pour beaucoup. L'ambassade des Etats-Unis au Burkina faso était plus jolie et moins défendue. Je passe rapidement devant l'entrée, en notant toutefois que la grille est fermée et qu'il ne semble y avoir personne. Nous sommes pourtant vendredi matin. Je ne cherche pas à comprendre et passe mon chemin, pour arriver devant l'ambassade de Thaïlande. J'ai l'intention d'y rester plus d'un mois et si je veux éviter les aller-retours pour renouveller le visa, il me faut un visa plus solide, quitte à payer. Ce que je n'avais pas prévu, c'est le délai d'obtention du visa. Pas avant lundi, l'ambassade ne délivrant pas de visa le samedi. Aïe. Je repars dimanche pour Pulau Langkawi et j'ai déjà mon billet en poche. Tant pis, je ferai sans.

En sortant de l'ambassade, je me fais la réflexion que, s'il est utile de réserver ses trajets à l'avance, il ne sert à rien d'en précipiter l'achat. Acheter son billet de bus ou de train au dernier moment semble être une des bonnes règles du vadrouilleur. Une autre rècle consistant à ménager sa monture, je décide de revenir vers l'Office du Tourisme en bus de ville. Oui mais voila, je suis du mauvais côté de la chaussée et il va ma falloir la traverser. 2 x 3 voies, sans terre-plein central, avec des voitures venant de partout et pas un feu, pas un passage protégé, pas une passerelle à l'horizon. Comment faire ? Dans un petit véhicule de police, posté juste à côté de l'ambassade, je trouve deux policiers s'ennuyant ferme. Intérrogés, ils me répondent de traverser ici même ou de remonter plusieurs centaines de mètres vers l'intersection. Par contre, l'arrêt de bus se trouve juste là, en face de moi. Avec un geste d'encouragement, le policier m'invite à traverser. Il me faudra plus de temps avant de trouver l'occasion de traverser la route de façon à peu près sûre que j'en aurais pris pour remonter jusqu'à l'intersection. Ma seule consolation vient du fait que les policiers semblaient bien s'amuser à me regarder hésiter à me lancer sous une roue ou une autre. Arrivé du bon côté de ce Styxx à piétons, je remonte vers l'arrêt de bus. Il est 14h45. Le spectacle commence dans un quart d'heure. Timing parfait. J'attends donc le bus.

C'est fou comme, quelque soit la ville, le bus tarde toujours à arriver. Avant de réussir à traverser, je voyais passer un bus par minute. Le mien n'arrivera que 10 minutes plus tard. Je serai donc en retard pour le début du spectacle. Par contre, il est vraiment bon marché : 1 ringit. 20 centimes d'euro. Le bus n'est pas tout neuf, mais il roule et, après des semaines de transports aléatoires en Afrique, je n'y fais plus attention. Instinctivement, je regarde les usagers. Déception là aussi. Des regards éteints, fixés sur un brouillard imaginaire, perdus dans une totale absence de réflexion, fermés au monde qui les entoure et qu'ils connaissent par coeur, ces fantômes d'humains ignorent mes sourires et mes salutations de la tête. Je suis seul, perdu au millieu de la foule. Je patiente jusqu'à mon arrêt. Lorsque je descend, il me semble que j'avais retenu ma resiration. Je prends un bol d'air pollué et me précipite vers le joli bâtiment blanc et rouge. Le spectacle est commencé. Il n'y a pas grand-monde, peut-être une vingtaine de personnes. Sur scène, des hommes et des femmes, en tenues traditionnelles, exécutent des pas complexes au son d'un musique un peu trop forte à mon goût mais pas désagréable. En revanche, si les dances sont bien traditionnelle, la musique a été remise au goût du jour. Batteries, guitares et synthétiseurs ne sont pas vraiment des instruments "traditionnels". Malgré tout, le spectacle est plaisant et les danseurs excellents. Ils semblent s'amuser sur scène, c'est un signe. Le public, lui, est naturellement composé d'européens et semble ne pas vraiment s'amuser. Je ne comprends pas pourquoi. Je suis d'un naturel bon public, mais il me semble que la prestation est très bonne. Il ne se réveillera qu'au bout de plusieurs dances superbes et d'un final où l'un des danseurs fait éclater un ballon gonflable sous l'aisselle d'un spectateur volontaire à l'aide d'une immense sarbacane. Par contre, il n'a pas ri de bon coeur, comme je l'ai fait lors de la chanson finale, interprétée par une fille dont le mouvement des lèvres avait du mal à suivre l'enregistrement. L'effet était très comique et certainement involontaire, mais mon rire était sincère et absolument pas cynique. Ma visite se poursuit dans le petit musée d'art asiatique attenant à la salle de spectacle. Peu de pièces, mais intéressantes et diversifiées. De plus, il y fait frais. Il est près de 5 heures lorsque je sors du musée. Direction, la tour Menara.

Cette tour est en fait un immense relais d'ondes disposant d'un étage observatoire et d'un restaurant tournant, comme à Munich. Elle est située au sommet d'une coline, ce qui lui procure une hauteur suplémentaire et lui permet de surplomber l'ensemble de la ville et des environs. On peut y accéder par la rout ou par un petit chemin qui court le long de la colline en traversant un petit parc. Je décide de prendre ce dernier. Il commence par une longue volée de marches qui n'est pas sans me rappeler celle du cratère de la Fournaise, à La Réunion. L'air est chaud et humide, le temps est lourd et au loin un orage tonne. Les conditions ne sont pas idéales, mais qu'importe ? Je ne vais pas rebrousser chemin maintenant. De marches en sentiers, je finis par arriver devant un parking quasiment désert, au bout duquel une aiguille semble plantée dans le ciel. La tour Menara. A y bien regarder, elle ressemble plus à un minaret, avec ses étages se surplombants les uns les autres. Le sommet forme un bulbe. De même que pour les tours Petronas, la tour Menara semble faussement proche. L'allée qui y mène prépare le touriste à la visite. On peut y voir des panneaux explicites, écrits en anglais : "Levez la tête ici". "Prenez votre photo ici". Ici, à l'instar du parc Petronas, le tourisme est préformaté, prédigéré. Il n'y a plus qu'à se laisser porter, pas besoin de réfléchir. Soit, ne réflechissons pas, et avançons vers le minaret.

Au rez-de-chaussée, quelques boutiques font cercle autour d'un mur central cylindrique renfermant d'une part les ascenceurs pour le restaurant et d'autre part ceux pour l'observatoire. Je me dirige vers ces derniers. Je sais que le siel n'est pas très clair, mais je n'ai pas trop le choix. Pas question de revenir ici demain, à moins que le reste de la visite ne soit particulièrement décevant. Je monte donc dans l'ascenceur, m'attendant à un effet de vitesse, comme dans la tour Montparnasse à Paris. Mais ici, rien. Pas de mouvement brusque, pas de sensation forte. Une simple accélération, en douceur, et un freinage tout aussi doux. Préformaté, prédigéré. Par contre, la vue, bien que très limitée par les nuages d'orages qui surplombent la ville, est superbe. On ne voit pas tout, bien sûr, et ce que l'on voit est voilé par le mauvais temps, mais l'ensemble procure une impression de combat entre la nature et l'architecture. Les buildings s'élancent vers le ciel, la pluie se précipite vers la terre. Seules les tours Petronas, au loin, semblent être en mesure de transpercer la défence céleste. C'est de ce point de vue que l'on se rend vraiment compte de leur véritable hauteur. Au bout d'une demi-heure d'une observation assistée par les commentaires d'un petit appareil électronique vantant maintes fois les qualités uniques de cette cité de rêve (préformatté, etc.), je redescend pour suivre un reportage sur la construction de la tour. Je n'en ai retenu qu'une chose : un vertige épouvantable. Mais comment des gens arrivent à travailler à ces hauteurs sans se jeter dans le vide ? J'en ai les jambes coupées. Je sors de la salle de projection avant la fin pour reprendre mon souffle. Et si j'allais voir la carte du menu du restaurant ? Il paraît que la vue est superbe et que le repas est délicieux. J'approchede la carte affichée devant le portilon d'accès aux ascenceurs. Surprise, les plats sont indiqués en français. Avec quelques fautes, certes, mais en français. "Parmentière poisson écreviettes" (Parmentière de poissons et crevettes), "Claire consommé poulet quenelle" (Consommé clair de poulet et quenelle), "Citrus sherbet" (sorbet citron, l'entremet), etc. Tout ceci a l'air alléchant. 115 ringits. 23 euros. Vu mon budget, ce sera pour une autre fois. Mais ce n'est sommes toutes pas si cher que ça.

C'est à pieds que je parcours le chemin vers la pension. L'avantage d'un poste d'observation haut placé, c'est que l'on peut y faire un repérage visuel. J'arrive donc ) ma chambre par le plus court chemin. Mon hôte marocain est là, attablé à l'une des tables du restaurant qui fait l'entrée de la pension. Oui, ma journée était bonne. Non, je ne suis pas trop fatigué. Oui, j'aurais besoin de lui pour trouver un cybercafé. Non, je n'ai pas dîné mais je mangerai léger, j'irai chercher des choses à grignotter dans une supérette. gentiment, il me propose de ml'accompagner, ce que j'accepte volontier. Finalement, peu de gens parlent anglais et demander son chemin est parfois laborieux, j'en ai fait l'expérience tout au long de la journée. Mon hôte et guide se révèlera finalement extrêmement utile de par ses connaissances parfaites du quartier et du français.

Après avoir remonté une ruelle, nous débarquons dans un autre monde, fait de bruit, de musique, de lumière et de passants sillonnant les rues au millieu des voitures. Bienvenue dans le centre des grands magasins, me dit-il. Je vois, en effet. Impossible de se tromper. On dirait Las Vegas, avec des mauls à la place des casinos. La faune s'amuse, les voitures roulent lentement, plus par flânerie qu'à cause du traffic, les enseignes rivalisent de couleurs. Voila donc l'un des centres de vie nocturne de Kuala Lumpur. Mais ces magasins ne ferment-ils donc jamais ? Jamais. Je remercie mon guide qui me laisse devant un escalier menant au cybercafé et part faire ses propres courses. Echappant à la foule, je grimpe cet étroite volée de marches et débouche dans une ambiance feutrée peuplée d'ordinateurs et de gens concentrés et silencieux. Du calme, du repos, de la fraicheur, de l'électronique. Je vais y rester un peu avant de rentrer. Demain, les parcs à l'ouest de la ville et le centre ville m'attendent. Kuala Lumpur est une jolie ville.

6 Comments:

Anonymous Anonyme said...

+
Cher Pascal,
Merci pour tous des comptes rendus.... j'attends la suite.
En union de prière,
Bien fraternllement,
Fr. Bertrand s.m. :-)+

11:04 PM  
Anonymous Anonyme said...

Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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